Géosmine
En 2016, le Guide Lebey récompensait Mensae en lui attribuant le titre de meilleur bistrot de l'année. Dans les cuisines, son chef - Maxime Bouttier - a décidé de passer à la vitesse supérieure en s'attaquant à un registre plus gastronomique. En s'installant en lieu et place de Botanique, il y a revu la déco tout en conservant les essentiels comme les murs de pierre et cette fenêtre de sous-sol donnant une vue magique sur la cave à vin. On ne saura trop vous conseiller de vous installer aux premières loges du comptoir (quatre places seulement) à l'étage pour observer la brigade à l'œuvre. À partir de ce moment, on chemine avec le chef dans toute son inspiration et sa touche percutante que l'on aime tant : rien que cette tartelette à l'anguille fumée, herbes et fleurs servie en guise d'amuse-bouche a de quoi émerveiller ! Excellentes échalotes jouant un duo gourmand avec du lard de colonata, premières asperges vertes mariées avec bonheur avec de la pistache et de l'ail des ours, ou encore un lieu jaune passé rapidement au sel avec deux sauces contrebalancées par l'amertume assumée du pissenlit. Jouant tour à tour avec les amers, les textures, l'umami, et la pure et simple gourmandise, il nous emmène vers son plat phare : la mamelle de vache, crème et caviar. Un mets qui ne laisse pas indifférent. Jusqu'aux desserts, le régal est au rendez-vous. Du côté des vins, Vincent Glaymann s'amuse à nous étonner et conseille justement. Une belle aventure qui ne fait que commencer.
Salaison de maquereau - cromesquis de rillettes chaudes 'amuse-bouche en souvenir de ses origines de Touraine) - tartelette anguille fumée et herbes fraîches (amuse-bouche exceptionnel) - feuilleté charbon et crémeux à l'ail noir - échalote, consommé, lard gras et soja (très gourmand) - asperge verte, estragon, pistache, ail des ours - pomme de terre, noix, curry, vin jaune - lieu jaune, céleri, pissenlit, sauce tête (goût amer très bien maîtrisé) - faux-filet de vache maturé, radiccio, sauce bbq (parfait !) - mamelle, caviar, crème et algue (superbe !) - citron, sauge, beurre noisette, céréales (un vrai rafraîchissement) - pomme, sarrasin, caramel au beurre salé, lait poivre - chocolat, vanille, fleur de sel, praliné (dessert signature incontournable) - mignardises
Amâlia
L’ancien restaurant Robert est devenu Amâlia avec à sa tête deux chefs italiens férus de (haute) gastronomie.
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Rigmarole (Le)
Un restaurant de petite jauge (une trentaine de places), ouvert uniquement le soir, cinq jours par semaine, à prix doux (le menu à 49 € donne droit à une douzaine de condensés gastronomiques), et o
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FIEF
Avec son FIEF (Fait Ici En France), Victor Mercier réalise un tour de force en proposant une cuisine originale et audacieuse exclusivement produite à partir de produits made in France (métropolitai
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Magma
Si d'aucuns n'ont cessé de s'interroger sur l'apport de chefs japonais dans le paysage des tables parisiennes, il est indéniable que leur savoir-faire n'est plus contesté.
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Chateaubriand (Le)
Dans ce vieux bistrot et son comptoir en marbre comme son ambiance joyeuse et plutôt bruyante dès que la salle se remplit, Inaki Aizpitarte réussit le tour de force de faire partager à ses clients
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Dessance
L'humilité, c'est d'abord la décence.
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