Panda Panda
Dans le cadre de la collaboration économique franco-chinoise, saluons cette création dont les deux jeunes boss sont français et le personnel en cuisine, asiatique. Ils ont lifté une ex-table italienne, poutres peintes en blanc, plantes vertes, dragon stylisé en néons multicolores (très réussis), arrière-salle sous verrière... et opté pour une courte carte de plats de Hong-Kong et Taïwan avec, en vedette, les modeux baos, sorte de brioches chinoises que l'on peut garnir de différentes farces. Pas de prise de commande par le personnel (uniquement français), mais une fiche que l'on remplit au crayon et service ultra-rapide car on sent bien que selon les principes du marketing il faut que la rotation de la clientèle soit rapide. Cela nous a valu de voir débarquer nos trois assiettes commandées en même temps. Mais l'ensemble se tient bien (excepté une sauce tamarin à la fois trop sucrée et trop salée), avec une cuisine sans glutamate (tant mieux), facturée un peu plus cher que dans un chinois de quartier tout en étant plutôt copieux. Comme le choix est cependant réduit, il faudra voir si la carte se renouvelle. Bon choix de boissons en prime, avec cocktails, sakés, thés, bières artisanales à la pression et vins de propriétaires parfaitement sélectionnés.
Xia Long Bao (raviolis au porc fermier contenant un bouillon) - Canard laqué (en fait du filet de canette à la peau bien croustillante) sweet and sour aux galettes de riz, sauce tamarin - Riz blanc - Pop corn fried chicken ( poulet frit, très copieux) à la chapelure de patate douce.
Galopin (Le)
En moins de cinq ans, Julien Simmonet n'a pas perdu de temps : rachat de l'ancienne adresse des frères Tischenko et refonte totale de la carte.
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