Attache (L')
Tout a commencé par une collaboration qui devait être seulement éphémère. Le chef Ryuya Ono, vu dans la Maison du chef Sota Atsumi, est passé derrière le bar en juillet dernier de ce petit bistrot dévolu aux vins naturels. Une association qui s'est vite transformée en mariage voué pour durer. La douzaine de places au comptoir et à peu près autant en salle ne désemplissent pas. Il fait bon s'asseoir ici et profiter de ces petites assiettes qui changent régulièrement et qui s'accordent facilement avec la cave bien fournie proposée au verre. On retrouve le même élan gastronomique qui a fait le succès de Sota, avec des plats se limitant à quelques ingrédients et développant un spectre très ouvert de saveurs. Les assaisonnements millimétrés et les cuissons parfaites propulsent des associations terre et mer particulièrement bien senties. Ainsi la sole, encore nacrée, joue la meilleure amie d'un lobe de foie gras poêlé grâce à une sauce associant trompettes de la mort et crustacés. L'accompagnement même de ce plat - un céleri rave braisé encore fondant, avec sa sauce au pain d'épices - a tout pour faire chavirer les papilles. Chaque assiette invite à en découvrir une autre et à faire se succéder autant d'émotions. Curiosité et gourmandise prennent le pas sur la raison, et l'on se trouve au final a - presque - avoir parcouru et surtout dégusté la carte entière.
Haddock, pommes de terre, œufs de truite - Tartare de bœuf maturé, sancho, pommes allumettes (viande particulièrement goûteuse) - Sole, foie gras, trompettes de la mort (magnifique avec un céleri rave braisé et sa sauce pain d'épices) - Risotto, poulpe câpres - Marquise chocolat café (plutôt classique).
Blanca
On pourra s'amuser dans ce bistrot de poche de moins de vingt couverts (pierres apparentes, appliques contemporaines, carrelage bicolore...) du jeu de ping-pong entre Argentine et Basqu'attiude dep
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Café du Coin
Plutôt que de chercher toujours la petite bête, autant le dire franchement : y’a pas mieux.
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Gibon
Sous l'enseigne du singe-hurleur d'Indonésie (normalement, orthographié avec deux B), un quatuor mène la danse depuis dix mois pour une trentaine de couverts dans une petite salle crème sur les mur
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Jones
Fier successeur de Bones - le "J" ayant remplacé le "B - ce bistrot à l'allure bien de son temps (murs bruts, tables et comptoir en bois, vaisselle dépareillée) livre une dînette de haute volée.
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Café Mirabelle
Ambiance sympathique dans ce restaurant - salon de thé où, en hiver, crépite volontiers un feu de cheminée.
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Bons Crus (Aux)
En dépit de l'enseigne <Routiers>, ne vous attendez pas à voir débarquer ici de leur 38 tonnes des costauds pour en découdre avec le menu du jour à tarif plébéien.
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