Dame Jane
Rue Ramponeau, du nom de Jean Ramponeau qui, selon Louis-Sébastien Mercier « abreuvait la populace altérée de tous les faubourgs, à trois sous et demi la pinte : modération étonnante dans un cabaretier, et qu'on n'avait point encore vue jusqu'alors ! ». Jusqu’en 2005, la fraternité Les Sœurs de Nazareth y tenait une soupe populaire. Désormais, dans un décor esthétiquement dévasté (tables disparates, chaises d’école dépareillées, beau carrelage sur les murs) c’est Julie Caute qui concocte et sert avec le sourire une carte réduite (deux propositions par service) renouvelée chaque jour. Un goût affirmé pour les préparations simples mais pas bêtes, les légumes justement cuits et les herbes (soude, obione), les pieds de nez (glace maïs), les vins expliqués sans pédanterie. Une cinquantaine de vins nature, une bonne dizaine de bières artisanales. Vente à emporter.
Salade de bulots, coques et radis noir - Effilé d’agneau, navet, carottes blanches, poireau, échalote, soude - Yaourt à la grecque, coulis de fraise.
Baratin (Le)
Malgré l’âge - plus de trois décennies au compteur - et les effets de mode, le Baratin n’a rien perdu de ses promesses culinaires des débuts.
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Orillon Bar
A défaut de se lamenter sur l'invasion de la street food et du recul du bistrot de quartier (quoique...), l'Orillon bar, en plein Chinatown bellevillois, valeur sûre, rassure.
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Cave de Belleville
C’est une règle qui en dit long : ici, chaque bouteille est goutée avant d’être servie.
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Grand Bain (Le)
Un lieu sympathique envahi tous les soirs par les foodista de France, de Navarre et du tourisme international.
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Candide
Cette adresse qui se dédouble - un coquet restaurant en face d'une cave à manger - est surtout connue pour son poulet rôti fermier, à partager chaque mercredi midi avec une bonne assiette de frites
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