Grand Bain (Le)
Un lieu sympathique envahi tous les soirs par les foodista de France, de Navarre et du tourisme international. On plonge dans le bain autour du bar en U, avec vue sur la cuisine qui, tout en semblant vite en surchauffe, gonflée par la sono, envoie les assiettes (style tapas) avec une régularité de métronome. Le Grand Bain (ne pas louper le joke de mot avec l’adresse dans la rue Desnoyer/des noyés) affiche son goût pour des produits de la mer plutôt rares (pouce-pied - avec un vrai rince-doigts! -, ormeau, couteau, foie de lotte, chinchard). Assiettes à partir de 6,5€ et grande carte des vins aux choix très personnels, bourrée de découvertes. Service efficace et très sympathique. Ouvert uniquement le soir. Réservation recommandée pour le premier service, second service (21 h 30) sans réservation jusqu’à (presque) point d’heure.
Pouce-pied- Foie de lotte, cerise et daïkon - Glace au citron noir & caramel au wakamé.
Baratin (Le)
Malgré l’âge - plus de trois décennies au compteur - et les effets de mode, le Baratin n’a rien perdu de ses promesses culinaires des débuts.
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Orillon Bar
A défaut de se lamenter sur l'invasion de la street food et du recul du bistrot de quartier (quoique...), l'Orillon bar, en plein Chinatown bellevillois, valeur sûre, rassure.
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Cave de Belleville
C’est une règle qui en dit long : ici, chaque bouteille est goutée avant d’être servie.
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Dame Jane
Rue Ramponeau, du nom de Jean Ramponeau qui, selon Louis-Sébastien Mercier « abreuvait la populace altérée de tous les faubourgs, à trois sous et demi la pinte : modération étonnante dans un cabare
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Candide
Cette adresse qui se dédouble - un coquet restaurant en face d'une cave à manger - est surtout connue pour son poulet rôti fermier, à partager chaque mercredi midi avec une bonne assiette de frites
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