Mamagoto
Itinéraire Changement de braquet pour Mamagoto (dînette en nippon) qui, dans sa grande salle lumineuse, a renoncé au déjeuner à sa carte élargie de petites et grandes assiettes, pour se consacrer uniquement au bento facturé 25 euros, à tendance fortement Soleil Levant. Certes, c'est un peu frustrant, mais finalement, le chef nous a démontré que l'on peut également avoir du talent, même en proposant des choses simples: son rouleau de printemps (et même ses udons) font passer aux oubliettes tout ce que l'on propose dans nombre de fast food à la japonaise! Donc, pour plus de choix, il vous faudra attendre le dîner, mais sans omettre de passer par la case vins, dont la sélection est impeccable d'originalité.
Rouleau de printemps au chinchard (exquis de finesse, de saveur et de fraîcheur) - Udon au bouillon de bonite, tempura de gambas et potimarron -Cheesecake au citron vert (aérien)
Café des deux gares
Embrayant au p'tit noir dès 9 du mat' (rideau à 23h30), ce Café ne manquera pas de surprendre par sa verve dans un quartier ethnico-populo-ferroviaire, brassant une pleine humanité entre gare de l'
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Arlots (Les)
Il faut se lancer au moins trois jours à l'avance pour réserver ici le soir et pouvoir caler son fessier au coude-à-coude, entre terrasse exigüe, comptoir et casiers à bouteilles.
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Marius (Chez)
Sur la carte de visite, le dessin d’une vierge miraculeuse tenant deux bouteilles de vin, un titre « Artillerie Lourdes » et la mention « ici le vin fait des miracles »: autant dire que ce Marius a
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Casimir (Chez)
A deux pas de la gare du Nord et de Barbès, ce bistrot à la décoration rafraîchie a su garder son authenticité : banquettes en moleskine rouge, chaises en bois, serviette Vichy en tissu.
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Billili
Le bonheur règne dans la cave à manger de Thomas Brachet et Tristan Renoux, voisine de leur bistrot Les Arlots.
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