Brasserie L'Émil
La brasserie occupe l’essentiel du rez-de-chaussée du « boutique hôtel », répartie sur différents espaces qui se succèdent sans pour autant forcément se rassembler. Plafonds à caisson, pavés d’un carrelage que l’on devine historique, lampes posées sur les nombreuses consoles ou commodes, quelques accrochages heureux, le luxe se montre ici chaleureux et accueillant. Une sincère exigence qui se prolonge sur la carte, jamais modeuse et toujours de saison. Le chef, à l’allure imposante d’un vice-champion de boxe française, défend un registre traditionnel sur de sérieuses bases apprises notamment chez Christophe Moret époque Shangri La. Simple salade de champignons de Paris parfaitement assaisonnée, œuf mayonnaise d’une grande justesse et facturé à seulement 1 euro (le reste de la carte se montre nettement plus ambitieux) ou frites format allumettes maison, croustillantes et exemplaires invitent à toute heure au grignotage. En saison, pâté en croûte ou oreiller de la Belle Aurore, belles pièces de viande accompagnées de pommes Anna comme on en trouve trop peu et classiques bien exécutés permettent de profiter pleinement d’un service calé sur les codes des belles maisons. Pour les desserts, on recommande les glaces maison et turbinées au dernier moment ou la généreuse mousse au chocolat. Il manque cependant une pâtisserie qui confirmerait la bonne tenue de cette brasserie haut de gamme.
Salade de champignons de Paris, huile d'olive, citron et parmesan - Escalope de veau al limone - Glace italienne Château Voltaire (fraise et vanille)
Kunitoraya
Dans son décor élégant de vieux bistrot, cette adresse brille par la pertinence de ses choix et sa constance dans un quartier (rue Sainte-Anne) en perpétuelle mutation.
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Jin
Une dizaine de couverts disposés autour d’un sobre comptoir en angle qui réunit de nombreux fans du grand prêtre des lieux, Takuya Watanabe.
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Tracé
Depuis notre dernier passage voici deux ans, ce Tamara a connu une montée en gamme et évolue désormais parmi les "jeunes tables gastronomiques" dont peut s’enorgueillir la capitale.
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Mer & Coquillage
Le chef, Mathieu Poirier, 32 ans, a fait ses classes chez Le Divellec, au Royal Monceau, au Pré Catelan puis chez Lasserre.
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Restaurant Takara
Des restaurants japonais de Paris, Takara se dit le plus ancien.
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Nodaïwa
Cette antenne parisienne d'une sérieuse maison tokyoïte, reste toujours fidèle à l'anguille préparée de façon traditionnelle et proposée dans différentes préparations.
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