Restaurant Passerini
Ce ne sont pas les tables italiennes qui manquent à Paris. D’autant que la liste ne semble pas prête d’en rester là, si l’on en juge l’engouement des Français pour la cuisine transalpine. Pour autant, Passerini, du nom de son chef, Giovanni Passerini, n’a rien d’une trattoria lambda. Déjà, le pedigree du cuisinier annonce la couleur : passé en cuisine par des tables bien en vue dans le scope parisien, il a maintes fois été acclamé par la critique qui l’a sans doute hissé au statut de chef italien le plus médiatique de la capitale. Il y a aussi le cadre du restaurant qui évoque plus une cantine berlinoise, avec son aménagement minimal et ses larges baies vitrées sur la rue, qu’une table nostalgico-cliché de la botte. Et surtout, il y a la carte qui casse les idées reçues sur la cuisine italienne. Certes, Giovanni excelle dans les pâtes, qu’il confectionne lui-même et propose d’ailleurs à la vente à emporter (sèche) dans l’atelier voisin. Mais le répertoire du chef romain montre qu’il est un grand cuisinier, capable de transformer viandes, poissons et légumes en des plats aux saveurs et textures exemplaires, rarement vus dans les osterias parisiennes qui jouent, faut-il le préciser, souvent la carte de la facilité. Il sera conseiller de privilégier les déjeuners, avec cette ambiance vibrante propre à l’architecture du lieu et ses formules plus que raisonnables qui mettent tout le monde d’accord aux dîners dont l’addition deux à trois fois plus élevée pourra susciter le débat.
Croquettes de haddock, mayonnaise à la feuille de figuier, concombre et fleurs de coriandre - Ravioli del Pastificio, poireaux, noisettes et romarin au beurre de sauge - Granita Siciliana aux pêches et jasmin, glace dacquoise et chantilly.
Table
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