Ordonnance (L')
Dans ce bistrot aux allures de vieil appartement, on est reçu comme à la maison. Dans les assiettes, le chef travaille de jolis produits pour une cuisine ménagère très améliorée et volontiers canaille. Magnifique jambon persillé, couteaux parfaitement cuits et savoureux ou généreux pavé de cabillaud servi avec une écrasée de pomme de terre, voilà un registre qui explique pourquoi l'adresse a la cote dans le quartier. D'autant que les desserts versent sans vergogne dans la gourmandise et la générosité et que la la cave se montre bien tenue.
Assiette de couteaux en persillade cuits à la plancha - Pluma de Pata Negra cuite à la plancha, girolles françaises sautées et purée Pompadour - Pain perdu, caramel au beurre laitier et glace vanille (classique mais délicieux).
Grande Ourse (La)
Une minuscule affaire de vingt couverts au look vintage, murs quasiment vides pour certainement mieux mettre en valeur les propositions esthétiques et assiettes toujours élégantes du chef, ancien d
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Assiette (L')
Cette adresse est au cassoulet ce que la Joconde est au musée du Louvre.
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Plumes (Aux)
Kazuhiro Fujieda, ancien disciple de Passard, officie dans une cantine bistronomique de poche.
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À Mi-chemin
Comment ne pas tomber sous le charme de ce bistrot tenus par des passionnés?
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Severo (Le)
Venir ici revient à faire un pèlerinage dans l'une des Mecque de la viande à Paris.
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Rouquins (Les)
« Nous on s'en fout, buvons un coup / Que chante enfin l'âme du rouquin »… Léo Ferré aurait aimé passer de la cave des Crus du Soleil, vouée aux vins du sud, à la grande terrasse isolée des Rouquin
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