B.O.U.L.O.M
On ne saurait trop remercier le restaurateur landais Julien Duboué d'avoir rendu ses lettres de noblesse à un concept en voie de disparition dans la capitale : le buffet. Après un coup d'oeil à l'espace boulange des lieux (B.O.U.L.OM. ne signifie pas "Boulangerie où l’on mange" pour rien) où récupérer une corbeille de trois pains maison (levain, maïs et tradition) qui se révélera des plus utiles, se dévoile une grande salle aussi lumineuse que conviviale où les grandes tables en bois ont la part belle. Autour d'elles, un îlot central où piocher parmi une ribambelle de victuailles. Charcuterie, tartare de bœuf, crevettes, velouté au potiron, salades et autres poireaux vinaigrette y côtoient tarte au citron, mousse au chocolat ou encore crêpes flambées sous vos yeux. Entre deux allers-retours, il aura fallu trouver les ressources pour se servir, devant la cuisine ouverte, en ribs de bœuf, agneau de lait ou risotto au jus d'épinard. Bonne nouvelle, quantité rime ici avec qualité, comme en témoignent les nombreux producteurs de talent auxquels la maison fait appel (Ospital pour la charcuterie, Barthouil pour le saumon, Dupuch pour les huîtres...) tandis que le verre de vin à cinq euros au déjeuner et l'accueil, adorable, témoignent un peu plus encore d'un lieu où la générosité n'a décidément rien d'un vain mot.
Œufs mimosa - Saumon gravlax - Charcuterie de chez Eric Ospital - Fricassée de volaille à la moutarde - Comté, bleu d'auvergne - Riz au lait - Salade de fruits - Fromage blanc.
Fana Bistro
Dans cette toute nouvelle rue piétonne, un nouveau bistro vient d'ouvrir avec à sa tête une association de deux chefs de talents, l'un pour la partie salé et l'autre pour les gourmandises sucrées.
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Réciproque (Le)
Tenue par deux anciens de l'Ecole Ferrandi, cette table de quartier tient un rang tout-à-fait honorable, la cuisine jouant à égalité avec un service de grande gentillesse.
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Maquis (Le)
Ne pas se fier au nom de l'établissement (malgré quelques incursions méditerranéennes, les plats n'ont ici rien de corse) ni même à la façade rouge basque dont l'enseigne s'annonce trompeuse (Cave
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Pantobaguette
On s'amuse ici. Un drôle de nom (contraction des prénoms des cinq fondateurs), une enseigne sous forme de cylindre qui tourne àtoute berzingue, des néons roses flashy, un comptoir qui n'en finit pa
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Pagaille
Le registre ici s'annonce « solaire », avec des touches iltalo-hispano-lusitaniennes, voire louchant vers le Maghreb (pintade fermière, jus au citron confit, coulis de roquette).
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Montcalm
À l’exception d’un bout de mur bleu canard et d’un comptoir au plateau en marqueterie marquée par l’âge, la déco est un peu couleur muraille: William (dans la cambuse) et Guillaume (en salle) ne se
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