Maquis (Le)
Ne pas se fier au nom de l'établissement (malgré quelques incursions méditerranéennes, les plats n'ont ici rien de corse) ni même à la façade rouge basque dont l'enseigne s'annonce trompeuse (Cave de la Villa, est-il indiqué). En revanche, pas de tromperie dans l'assiette : on confirme ainsi sans retenue toutes les louanges récoltées par ce sympathique bistrot de quartier dont la renommée a largement dépassé les frontières d'un XVIIIe arrondissement de plus en plus gourmand. Dans un décor resté dans son jus - chaises Baumann, banquettes en skaï rouge et appliques rétro, Paul Boudier et Albert Touton, passés par le Chateaubriand (XIe), font merveille à l'heure du déjeuner. La "faute" à leur irrésistible menu à 18 euros (deux entrées, plats et desserts au choix) qui, de harengs escortés de chou rouge et d'une crème de raifort à un crumble aux pommes, en passant par une savoureuse poitrine de cochon à la moutarde, enchantent dans un joyeux brouhaha les vieux habitués comme les jeunes branchés. La belle sélection de vins nature, elle, ne gâche rien. Il faudra maintenant revenir le samedi midi ou à l'heure du dîner pour découvrir une carte plus étoffée et aux tarifs forcément plus élevés (compter une quarantaine d'euros).
Harengs, chou rouge et raifort - Poitrine de cochon à la moutarde, lentilles - Crumble aux pommes.
Fana Bistro
Dans cette toute nouvelle rue piétonne, un nouveau bistro vient d'ouvrir avec à sa tête une association de deux chefs de talents, l'un pour la partie salé et l'autre pour les gourmandises sucrées.
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Pagaille
Le registre ici s'annonce « solaire », avec des touches iltalo-hispano-lusitaniennes, voire louchant vers le Maghreb (pintade fermière, jus au citron confit, coulis de roquette).
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Réciproque (Le)
Tenue par deux anciens de l'Ecole Ferrandi, cette table de quartier tient un rang tout-à-fait honorable, la cuisine jouant à égalité avec un service de grande gentillesse.
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B.O.U.L.O.M
On ne saurait trop remercier le restaurateur landais Julien Duboué d'avoir rendu ses lettres de noblesse à un concept en voie de disparition dans la capitale : le buffet.
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Pantobaguette
On s'amuse ici. Un drôle de nom (contraction des prénoms des cinq fondateurs), une enseigne sous forme de cylindre qui tourne àtoute berzingue, des néons roses flashy, un comptoir qui n'en finit pa
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Atelier Ramey
Bien en adéquation avec l'enseigne, cet Atelier a tout d'un atelier avec ses briques et pierres apparentes, ses tuyaux géants au plafond, ses chaises Tolix, sa cuisine vitrée en fond de salle et se
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