Village des Ternes (Au)
Un de ces bistrots de quartier totalement anonymes devant lesquels on peut passer mille fois sans les remarquer. Pourtant, cette adresse est bien connue des amateurs de vin. Tenue par Didier Bongain, surnommé "Barachamp'", ce troquet populaire propose une solide cuisine ménagère, plus roborative que raffinée. Les portions sont généreuses. Quelques belles pièces de viande pour les copains qui ont un gros coup de fourchette. Mais l'argument du lieu, en dehors de son rapport générosité-prix, c'est sa cave. Aussi surprenant que ça puisse paraître, on vient boire du champagne dans ce cadre qui se prête plus au pastis. Le choix est très large, et aucun récoltant-manipulant de qualité n'échappe à la sagacité du tenancier. Vaste choix également dans les autres appellations, mais peut-être moins pointu. C'est souvent plein au déjeuner. C'est carrément la cohue pour les matchs de foot ou de rugby. Formule "homard entier" à 35 euros le jeudi midi.
Saucisse Morteau et ses pommes tièdes - Filet de Saint-Pierre rôti aux girolles et riz thaï - Tartelette au citron.

Flaubert (Le)
Les travaux engagés depuis le départ de la famille Rostang n’ont en rien entamé le charme du lieu devenu plus ouvert et lumineux.
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Caves Pétrissans
Toujours très "old school" cette institution créée, côté cave, à la fin du XIXe et qui ne déroge pas à une certaine élégance IVe République, tables nappées de blanc, grands miroirs, moulures, banqu
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Bœuf Maillot (Le)
Avec toutes ses plaques émaillées publicitaires, son vieux mobilier et ses nappes à carreaux, on pourrait s'y méprendre et croire que ce bistrot existe depuis belle lurette.
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Café d'Angel (Le)
Le panier de légumes et les coupes de fruits à l’entrée font office de déclaration de foi: du frais et un goût revendiqué pour les légumes.
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